Jing Chen



Chaire de recherche du Canada sur l'interaction entre les écosystèmes et l'atmosphère

Niveau 1 - 2017-11-01
Date de renouvellement : 2011-03-01
University of Toronto
Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie

416-978-7085
chenj@geog.utoronto.ca

Objet de la recherche


Étudier l'interaction entre les écosystèmes et l'atmosphère pour améliorer nos connaissances sur les cycles du carbone régionaux et mondiaux.

Importance de la recherche


La recherche contribuera à l'effort national visant à élaborer des politiques relatives au changement climatique qui sont scientifiquement rigoureuses et valables.

Du sol à l'atmosphère et de l'atmosphère au sol : étude du cycle du carbone et du changement climatique


Les écosystèmes terrestres sont un élément crucial du système climatique de la terre. Comme la population mondiale ne cesse de croître, imposant ainsi des contraintes de plus en plus grandes sur les ressources naturelles de la planète, ces écosystèmes sont également les plus vulnérables du système climatique. Tout indique que les activités humaines ont non seulement modifié la composition atmosphérique et les sols de surface de la planète, mais également le climat de la terre. Ces changements climatiques peuvent avoir des conséquences néfastes sur notre milieu de vie et notre économie.

Le Canada étant signataire de l'accord de Kyoto, plusieurs nouvelles questions doivent être abordées par les scientifiques canadiens. Une de ces questions a trait à l'interaction entre les écosystèmes et l'atmosphère. Comme titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur l'interaction entre les écosystèmes et l'atmosphère, M. Jing Chen concentre ses efforts sur les processus du cycle du carbone et sur la façon dont ils interagissent avec l'atmosphère à court terme et à long terme.

M. Chen, scientifique de réputation internationale ayant une formation en météorologie, utilise un modèle qui examine l'interaction entre les écosystèmes et l'atmosphère, un modèle qui permettra de mieux quantifier les changements dans les stocks de carbone. Ses travaux de recherche représentent une nouvelle approche pour les scientifiques du Canada et de l'étranger. Ce modèle, en permettant de quantifier les changements dans les stocks de carbone dans divers écosystèmes, pourrait être utile pour prédire les futures conditions climatiques et pour élaborer les politiques liées à l'accord de Kyoto.