Mark Mallory



Chaire de recherche du Canada sur les écosystèmes des zones humides côtières

Niveau 1 - 2017-11-01
Date de renouvellement : 2016-07-01
Acadia University
Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie

902-585-1798
mark.mallory@acadiau.ca

Objet de la recherche


Utiliser la télémétrie, l’analyse des polluants et des techniques écologiques pour mieux comprendre la connectivité des habitats marins et terrestres le long du littoral.

Importance de la recherche


Aider à orienter les efforts de conservation et d’assainissement, ainsi que les activités humaines le long du littoral canadien.

Protéger nos habitats côtiers


Les habitats côtiers offrent un lien entre les milieux terrestres et marins. Nous reconnaissons de plus en plus la connectivité entre la terre et la mer, qui s’effectue par l’intermédiaire des espèces sauvages qui se déplacent entre ces habitats, en particulier les oiseaux marins. Mais les changements à tous ces habitats attribuables à l’activité humaine pourraient modifier cet équilibre et avoir des effets potentiellement nuisibles sur l’environnement.

Quelles sont les plus grandes menaces aux milieux côtiers? Pouvons-nous prévoir les effets indirects que les humains pourraient avoir sur ces habitats et sur les espèces sauvages qu’ils abritent? Mark Mallory, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les écosystèmes des zones humides côtières, essaie de répondre à ces questions et à d’autres – en protégeant et préservant du même coup les régions côtières.

M. Mallory et son équipe de recherche utilisent une technologie de localisation des oiseaux, des analyses d’oligoéléments et de polluants, des archives de sédiments des zones humides et des approches écologiques modernes pour établir comment la santé des écosystèmes côtiers varie de façon naturelle et comment elle est affectée par les changements dans l’environnement. Leurs recherches s’étendent de l’extrême Arctique aux parties les plus au sud du Canada et dans l’Atlantique Nord.

Les travaux de M. Mallory fourniront de meilleurs outils permettant d’évaluer la santé des écosystèmes côtiers et de déterminer les facteurs qui ont un effet sur leur viabilité à long terme. Ultimement, ses conclusions serviront à conserver et à restaurer des régions côtières saines et viables, ainsi que des populations d’espèces sauvages. Ils offriront également des lignes directrices pour les activités humaines futures dans ces habitats.